Reza, "Une terre, une famille" @ Parc de la Villette
Reza, Rwanda, 1994. Une jeune fille qui a fui les massacres ethniques entre Hutus et Tutsis, erre sur les routes. Courtesy La Villette © Reza/Webistan
Le Parc de la Villette met en scène vingt-deux photographies grand format de Reza
Photo-reporter de renommée internationale, basé à Paris, Reza parcourt le monde depuis plus de trente ans. Investissant la totalité du Parc de la Villette, déployée sur les Folies, petits bâtiments rouges créés par l'architecte Bernard Tschumi, l'exposition «Une terre, une famille» a été spécialement conçue avec Reza comme une installation monumentale sur les cinquante-cinq hectares du parc.
Vingt deux portraits invitent le promeneur à un face à face avec des histoires de vies remarquables, prises dans le maelstrom de l'Histoire, pour réfléchir à un monde possible, plus juste.
Du Rwanda à l'Afghanistan, du Cambodge à la Chine, la Mongolie et le Pakistan, en passant par Le Caire, c'est une invitation à rencontrer, à travers les conflits, les douleurs, les rêves qui les animent, les divisent, les rassemblent, des femmes, des hommes des enfants, d'en approcher les singuliers récits. Le parti-pris de Reza dans cette installation est de recomposer, à partir d'une multitude de portraits, une fresque, proche du tableau d'histoire.
Gigantesque machine dont nous sommes certes les spectateurs mais aussi, selon le point de vue, la distance aux images adoptée, l'un des personnages; où le jeu des regards est propre à nous interroger, entre autres, sur nos engagements, notre devenir de citoyens du monde.
Exposition en accès libre. Le Parc de la Villette met en scène vingt-deux photographies grand format de Reza
Photo-reporter de renommée internationale, basé à Paris, Reza parcourt le monde depuis plus de trente ans. Investissant la totalité du Parc de la Villette, déployée sur les Folies, petits bâtiments rouges créés par l'architecte Bernard Tschumi, l'exposition «Une terre, une famille» a été spécialement conçue avec Reza comme une installation monumentale sur les cinquante-cinq hectares du parc.
Vingt deux portraits invitent le promeneur à un face à face avec des histoires de vies remarquables, prises dans le maelstrom de l'Histoire, pour réfléchir à un monde possible, plus juste.
Du Rwanda à l'Afghanistan, du Cambodge à la Chine, la Mongolie et le Pakistan, en passant par Le Caire, c'est une invitation à rencontrer, à travers les conflits, les douleurs, les rêves qui les animent, les divisent, les rassemblent, des femmes, des hommes des enfants, d'en approcher les singuliers récits. Le parti-pris de Reza dans cette installation est de recomposer, à partir d'une multitude de portraits, une fresque, proche du tableau d'histoire.
Gigantesque machine dont nous sommes certes les spectateurs mais aussi, selon le point de vue, la distance aux images adoptée, l'un des personnages; où le jeu des regards est propre à nous interroger, entre autres, sur nos engagements, notre devenir de citoyens du monde.
Exposition en accès libre. 16 sept.-03 janv. 2011. Vernissage le 16 sept. 2010.
Reza, Chine, 2008. Sur les berges du Lac Qinghai, un enfant nomade tibétain. Courtesy La Villette © Reza/Webistan
Reza, Burundi, 1994. Sur les berges du Lac Cyhoha. Un homme s’est réfugié dans un camp, suite aux massacres ayant précédés le génocide au Rwanda. Courtesy La Villette © Reza/Webistan